Le monde d’après, impact du numérique


Sommaire

Le monde d’après se construit autour et avec un fort impact du numérique.

L’impact du numérique, une façon de concevoir le monde d’après

L’étude franco-européenne sur l’impact numérique et la crise sanitaire sur le monde d’après, réalisée par l’institut Odoxa, a révélé que la majorité des personnes interrogées considèrent que la crise sanitaire a accéléré la transformation numérique de la société. Les répondants estiment également que le télétravail est devenu une pratique plus courante et qu’elle est susceptible de perdurer même après la fin de la pandémie.

L’étude met également en évidence que les personnes interrogées ont une vision plutôt positive de l’impact de la technologie sur leur vie quotidienne, en particulier en ce qui concerne l’accès à l’information et aux services en ligne. Cependant, elles sont également conscientes des risques associés à l’utilisation excessive de la technologie, notamment en ce qui concerne la protection des données personnelles.

En outre, l’étude montre que les répondants sont conscients des changements sociétaux en cours, tels que l’évolution des modes de travail et la prise de conscience accrue de l’importance de l’environnement. Ils sont également ouverts à de nouvelles formes d’organisation sociale, telles que l’économie collaborative.

En somme, l’étude suggère que la crise sanitaire a contribué à accélérer la transformation numérique de la société, tout en suscitant une prise de conscience sur les enjeux environnementaux et sociaux. Les personnes interrogées semblent être prêtes à s’adapter à ces changements et à envisager de nouvelles formes d’organisation sociale.

Et si notre peur de l’impact du numérique, de l’IA, révélait une peur plus profonde ?

celle d’aimer ? de mourir ? ou encore de perdre notre liberté ?

Et si l’IA révélait tout simplement notre questionnement, notre rapport à la vie ?

À travers une écriture poétique, incarnée et lucide, cet Imagobook explore notre rapport à IA- l’intelligence artificielle à l’aune de la crise sanitaire.
Il interroge la place du corps, la sensibilité numérique, et notre capacité à traverser le vertige du changement sans perdre notre humanité.
Une escale pour celles et ceux qui pressentent que le futur ne sera pas un code, mais une présence réflexive où l’humain va devoir se questionner sur ce qu’il veut vraiment.