L’humain au cœur des transformations
Dans un monde de plus en plus digital, on entend beaucoup parler de lien humain, de relation authentique et attentionnée. Mettre du cœur dans la relation client-collaborateur pour créer de l’émotion est l’ambition d’un nombre croissant d’entreprises. Mettre au centre de leur culture, l’humain et les interactions clients-collaborateurs est un véritable défi à relever.
Nombreuses sont les entreprises qui s’y essayent, bien peu nombreuses sont celles qui atteignent la ligne d’arrivée… Ce monde entre culture client, résilience d’entreprises qui s’inventent digitale pour maintenir leur e-réputation m’interpelle et me confronte. Qu’en est-il pour vous ?
L’humain et l’IA vu par Steve Scott et Omelotto
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Quarante façons dont il nous laisse aveugles…
Un homme vit dans une société où les citoyens se surveillent mutuellement avec leurs téléphones portables | Utopie
L’humain et l’IA vu par mon fils de 15 ans, dont j’ai repris le texte intégral ci-dessous
A) L’IA et la médecine
L’IA dans la médecine apporte de grands changements, elle permet de nouvelles choses. « Les ordinateur et les machine qu’ils contrôlent peuvent réaliser des prouesses ». L’IA a de nombreux atouts, elle commet moins d’erreurs grâce à sa précision que les médecins eux-mêmes. Elle permet de connaître toutes les procédures et comment réagir face à une certaine situation car elle peut stocker un nombre gigantesque d’informations. Elle peut donc émettre des hypothèse grâce à ces données. Ce sont des outils infatigables : contrairement aux humains, les machines ne nécessitent pas de pauses fréquentes ni de rafraîchissements ! Elles sont programmées pour de longues heures et peuvent fonctionner de façon continue sans broncher !
L’IA peut être utile dans de nombreux domaines, elle est déjà utilisée dans l’Ophtalmologie. Un algorithme nommé rétinator en référence a Terminator peut détecter des anomalies dans la rétine. Il obtient d’aussi bons résultats que les ophtalmologues. Cet algorithme permet aux médecins de consacrer plus de temps aux patients car chercher des rétinopathie est un travail long et souvent sans résultat.
Aujourd’hui, il existe des banques de données. L’assurance maladie porte certes sur tous les assurés, mais aucune donnée n’est nominative. L’intérêt de ces infos est public. L’usage de ces données est encadré par la loi.
L’IA pourrait utiliser ces données pour apprendre. Ces banques de données pourrait faire avancer l’IA grâce à toutes les situations différentes, mais la question du consentement du patient viendrait à ce poser, car on ne veut pas que tout le monde sache quelle maladie ou problème physique nous avons. Pour certaines personnes, il paraîtrait impensable que leurs données médicales se voit diffuser, même si c’est destiné à l’IA.
C’est pour cela que l’idée a été émise de créer une application pour pouvoir gérer les autorisations d’utilisation de ses données dans un seul et même espace,
il y a déjà des exemples en Finlande où, lorsque vous entrez dans un centre hospitalier, vos données peuvent être enregistrées, sauf refus de votre part.
Pour moi, l’IA n’est pas une menace à la médecine « humaine ». L’ordinateur ne prendra pas de décision à la place du médecin ou du patient. Il proposera des pistes, des indications, des données statistiques et des probabilités qui viendront rationaliser la prise de décision, minimisant les risques d’erreur. L’IA n’est qu’une corde supplémentaire à l’arc du corps médical et un formidable potentiel de développement et de recrutement.
B) L’IA et sa propre réalité
Il y a peu, Mark Zuckerberg, le créateur de Facebook a changé le nom de sa société, qui gère les différents réseaux sociaux (Facebook, Instagram, WhatsApp…). Le nouveau nom est META en référence au métavers. En effet, Mark Zuckerberg compte jouer un rôle essentiel dans ce qu’il pense être « la prochaine évolution des relations sociales. L’objectif de notre entreprise est de promouvoir le métavers. Nous changeons notre nom afin d’illustrer notre engagement dans ce futur ». Meta devrait bientôt sortir son métavers, La grande pomme, Apple, s’est elle aussi lancée dans le métavers ; elle doit sortir prochainement sont propre casque de réalité virtuelle.
Mais qu’est-ce que le métavers ?
« Méta » vient du grec et signifie « au-delà ». Un métavers est donc un univers au-delà du monde physique, un monde virtuel. Le terme est utilisé pour décrire des espaces en ligne partagés, accessibles au travers d’interactions en 3D. L’idée est apparue dans des romans de science-fiction, dès la fin des années 1960.
Dès 2003, le jeu vidéo Second Life permettait d’évoluer avec son avatar dans un tel univers. Aujourd’hui, des plateformes de jeu comme Roblox proposent le même type d’expériences, en plus sophistiqué. Notre avatar peut y interagir avec l’environnement virtuel, mais aussi avec d’autres utilisateurs, où qu’ils se trouvent dans le monde.
Demain, on pourra quasiment tout faire dans le métavers : voir un match ou un concert, visiter un musée, suivre un cours, faire du shopping, etc. Et l’expérience sera encore plus immersive grâce aux casques de réalité virtuelle, qui permettent de se passer d’écran.
Le métavers intéresse beaucoup de monde, beaucoup de plateformes décentralisé ont pour but de créer un metavers comme Chromia ou Efinity. Le changement de nom de l’entreprise de Mark Zuckerberg a fait exploser le prix des token de ce genre de plateformes. Il est possible d’investir dans le métavers par le biais des token,
Certains ont investi dans le but d’avoir des bénéfices, d’autres pour le projet. Ces personnes sont comblées car, en plus de l’explosion du prix des token, la certitude d’en voir un sortir un jour s’accroît de jour en jour.
Le rôle de l’IA dans le métavers
L’IA sera de grande utilité dans le métavers, car si on lui donne les données / les exemple de choses de notre quotidiens (maison, grille pain…), elle pourra en créer de nouveau ayant la même fonctionnalité tout en étant différent.
L’IA créera en partie le métavers en s’appuyant sur le monde réel.
Mon opinion sur le métavers est optimiste. Le métavers pourrait débloquer de nouvelles opportunités marketing. En effet, nous pourrions être où l’on veut dans ce monde virtuel et donc rencontrer qui l’on veut.
Plus besoin de se deplacer pour aller bosser, vous pourrez avoir un espace de bureau virtuel. Le métavers se lance comme défi :
- D’assurer votre réputation/identité
- Garantir une sécurité maximum des données
- De vous offrir une monnaie et un système de paiement
- De mettre à votre disposition un système juridique pour garantir l’éthique des ces univers multiples
- Tout en vous proposant la meilleure place virtuelle, tant pour promouvoir votre business que pour vous éclater dans votre quotidien
La question est… Le métavers va-t-il parvenir a créer ce monde « parfait » ?
De mon côté, je m’interroge encore sur la place du numérique dans mon monde ! Tant que l’humain est au cœur de la transformation et motive les évolutions, un équilibre et une éthique vont s’instaurer. Pour l’instant, je peux seulement dire que :